samedi 27 juillet 2013

Départ imminent !


Samedi 27 juillet :

Je sais pas vous, mais moi je ne souffre pas de la chaleur. A peine je sens qu'il fait plus chaud que d'habitude, je vous jure.

*rires enregistrés*

Non en vrai, j'ai passé ma journée à brailler : Putaiiiin de canicuuuule de meeeerde !

Rien que ce matin à 9h30, il faisait déjà 31 °C. Je n'ose même pas penser combien on a atteint cet après-midi. Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il a fait assez chaud pour que je me liquéfie de l'extérieur comme de l'intérieur. La chaleur m'a en plus complètement secouée, tellement qu'à 18 heures et quelque, je me suis écroulée sur mon lit et j'ai pioncé une heure sans le vouloir. Je me suis réveillée toute dégoulinante de sueur, c'était dégueulasse. Surtout que c'est pas tout ça, mais j'ai dû préparer mon sac scout pour demain, ce qui n'a pas forcément aider à ne pas transpirer puisque j'ai dû l'ouvrir, ajouter des trucs, le fermer, le rouvrir, enlever des trucs.

J'ai pris une douche froide aussi. Parce que déconne pas, j'ai pas de ventilateur et ma chambre est exposée plein sud alors bon... c'est pas comme si ma chambre était devenue une annexe du Sahara, mais presque. Je me suis aussi réfugiée dans la cuisine pour essuyer la vaisselle en culotte (mais avec un Tshirt, ma coloc est encore là je voulais pas non plus la choquer). Si j'avais pu, je me serais enfermée dans le frigo. Mes cheveux font en plus un peu ce qu'ils veulent aussi à cause de l'humidité, sympa vraiment ! Et puis ça fait trois jours qu'on attend un orage de ouf, truc trop blindé de malade, mais il ne tombe pas. Paraît qu'il y en a eu un costaud en France aujourd'hui (ou hier), je prie pour qu'il nous tombe sur la gueule cette nuit ou demain.

Ah non, pas demain. Les orages aux scouts, c'est moyen. 

Tu l'as compris, je pars tôt demain matin rejoindre mes acolytes et je reviens dans une petite semaine. Une semaine sans article... c'est d'une tristesse. Mais console-toi, j'aurais sûrement plein de choses à te raconter en rentrant. Bonne semaine !!

Mon bébé, aux couleurs des pays que j'ai visités. (il y a aussi Rome et l'Allemagne sur les poches latérales)
Oui les écussons ne sont pas tous droits. Mais c'est de l'Art.

L'article résumé des démarches administratives se trouve en dessous. J'en ai aussi fait une page, accessible en haut dans la colonne de droite :)

Erasmus, un an de démarches administratives

Cet article est basé sur ma mobilité Erasmus afin de vous donner les lignes directrices. Dans tous les cas, fiez vous aux consignes de votre université d'origine.

Tu as été sélectionné(e) pour un séjour d'échange Erasmus ? Ne te réjouis pas trop vite, Petit Padawan. Avant de partir, tu dois passer une dernière épreuve qualificative. J'ai nommé celle du labyrinthe administratif. Mais ne t'inquiètes pas, tu sais, tout va bien se passer - à la condition que tu suives à la lettre les instructions du bureau des relations internationales de ton université.

Tu veux que je te raconte mon Erasmus côté paperasse ? Oh oui Père Castor, raconte-nous !
(bon, d'accord)

Ma bible de paperasses Erasmus


AVANT LE DÉPART

* S'inscrire dans son université d'accueil, qui vous enverra un mail. Ah oui, vos mails : consultez-les tout le temps, conseil d'amie (qui vous veut du bien) car vous allez recevoir tout plein d'infos. Alors hop hop hop, pas question de se dire "Tralala c'est les vacances, au diable l'internet".

* Aussi fou que cela puisse paraître, avant de partir en Erasmus, il faut aussi s'inscrire dans son université d'origine. Car vous avez beau suivre des cours dans une université à l'étranger, c'est à votre établissement d'origine que vous allez envoyer tous vos papiers et c'est cet établissement-là aussi qui se chargera de traduire votre relevé de notes et de valider votre année.

* D'ailleurs, on vous demandera d'envoyer un certificat de scolarité daté de l'année de votre mobilité (pour moi 2012/2013).

* Prévenir le bureau des relations internationales de votre université d'origine que vous avez réussi votre année, relevé de notes en pièce jointe d'un mail à l'appui. Si tu as foiré tes partiels, chéri(e), c'est cuit pour toi.

Établir le contrat étudiant Erasmus. Ce document, je cite, atteste de votre participation au programme Erasmus et vous offre la possibilité de percevoir une bourse. A établir en deux exemplaires, dont un vous sera retourné plus tard. Suivez bien les instructions, si on vous dit de le remplir à l'encre bleue, c'est à l'encre bleue.

Établir le contrat d'études. Là, ça se complique un peu. Le contrat d'études permet d'établir le programme de cours, et donc de communiquer à votre université les partiels que vous allez passer et le nombre de crédits. Pourquoi c'est compliqué ? Déjà, il faut choisir ses matières et faire pour que le tout donne 30 crédits par semestre. Bon. Mais après, après : c'est le portail des Enfers. Déjà, il faut que tu arrives à capturer ton responsable de diplôme (exemple : le responsable de mon master) et ton responsable d'échange (le gugusse qui s'occupe des relations avec ton université d'accueil). Une fois donc que tu as pu avoir leurs précieuses signatures, tu dois envoyer ce document original à ton université d'accueil (exemple : en Allemagne) où il sera paraphé de la blanche main de deux autres personnes : le responsable des échanges Erasmus avec la France et quelqu'un du bureau international. Et là, encore plus dur : ces personnes doivent renvoyer le contrat d'études à ton université d'origine. N'oublie donc pas de leur mettre un petit mot doux pour leur expliquer la marche à suivre et d'ajouter une enveloppe timbrée à l'adresse idoine = le bureau des relations internationales de ton université d'origine.

=> Pourquoi c'est compliqué cette histoire de contrat d'études, Père Castor ? Et bien, mon enfant : parce que toutes les signatures, mentions et tampons doivent être ORIGINAUX. Pas de scans, pas de photocopies. Evidemment, il ne doit manquer aucune signature sinon, tu as le droit de tout recommencer de zéro.

* Pense aussi à demander la carte européenne de sécurité sociale à ta mutuelle étudiante !


PENDANT LE SÉJOUR

Au début du séjour

Ça y est, tu es arrivé(e) en un seul morceau, la kiffance Erasmus a commencé. Mais attention Petit Padawan, n'oublie pas que tu as des documents Erasmus à renvoyer ! Et fais bien attention aux dates limites !

* Le contrat d'études, pour commencer. Si jamais tu as eu des changements de cours par rapport à la première mouture de ton contrat d'études (à ce propos, c'est sympa d'en faire une photocopie au cas où), tu vas devoir utiliser le deuxième formulaire (celui qui s'appelle modifications du contrat d'études). Une fois qu'il est tout remis à jour, tu le fais signer par ton responsable d'échange dans ton établissement d'accueil, par une personne en charge des Erasmus du bureau international et attention ça se complique. Tu glisses ton petit papier dans une enveloppe, que tu envoies à ton responsable de diplôme en France. A ce responsable de diplôme, tu écris une petite note gentille en lui demandant de transmettre ton contrat d'études au responsable d'échange [insérez un nom ici]. Puis, petite note à destination de ton responsable d'échange pour lui demander s'il peut et transmettre le papier à Madame/Monsieur X du bureau des relations internationales. Une fois fois que cette personne du bureau des relations internationales a accusé réception de ton contrat d'études, tu peux entamer une danse de la pluie.
=> Ici aussi, toutes les signatures, mentions et tampons doivent être ORIGINAUX.

* Si tu as été sélectionné(e) pour toucher la bourse Erasmus : félicitations, c'est bien, tu vas pouvoir payer tes courses alimentaires grâce aux subventions de l'Union Européenne. Hum, je disais : si tu as été sélectionné(e) pour toucher la bourse Erasmus, tu vas devoir faire remplir une attestation de début de séjour par le bureau des relations internationales de l'université d'accueil. Idem, il est nécessaire d'envoyer l'ORIGINAL à l'université d'origine. Sans certificat, pas de bourse.

* Si tu as été sélectionné(e) pour toucher la bourse Explo'ra Sup de la région Rhône-Alpes, comme moi, il faut en plus faire signer un certificat de présence par quelqu'un du bureau des relations internationales de l'université d'accueil. Et là aussi, il faut impérativement envoyer l'ORIGINAL à l'université d'origine. Sans certificat, pas de bourse.

* Si tu restes pour deux semestres, il faut te retaper une deuxième fois la paperasse du contrat d'études. T'es content, hein ?


A la fin du séjour

Et oui, ça y est, Erasmus c'est fini. Tu es en train de passer tes partiels et sauter sur tes valises pour les fermer mais n'oublie pas de faire signer tes derniers certificats, Petit Padawan.

* 15 jours avant la fin de l'échange, il faut faire signer l'attestation de présence Erasmus par le/la responsable du programme Erasmus au bureau des relations internationales de l'université d'accueil. Je te le répète, au cas où tu sois sourd(e) et/ou aveugle : il faut envoyer l'ORIGINAL à l'université d'origine. C'est important parce que : on t'a versé en début de mobilité les deux tiers de ta bourse et, sans réception de ce dernier document, impossible de te verser le dernier tiers.

* A renvoyer aussi, le rapport de fin de séjour Erasmus. Un petit questionnaire bête comme choux qui compte car sans sa réception, pas de paiement du dernier tiers de la bourse non plus.

* Si tu as touché la bourse Explo'ra Sup (75 % de la somme versée en début de mobilité), il te faudra faire remplir et signer le certificat final Explo'ra Sup et envoyer l'ORIGINAL à l'université d'origine. Pas de papier, pas les 25 % de la bourse restant dans ta popoche.

* Pour la bourse Explo'ra Sup, il y a un rapport d'environ dix pages à rédiger et à envoyer à ton université d'origine. Pas de rapport, pas les 25 % de la bourse restant dans ta popoche.

* Last but not least : n'oublie pas d'envoyer ou de faire envoyer ton relevé de notes pour que ton année soit validée par ton université d'origine !


ATTENTION : l'oubli d'un seul document peut avoir de graves conséquences, à savoir l'annulation des bourses et l'obligation de rembourser les sommes perçues ou bien non validation de l'année par exemple ! Il est donc essentiel de se tenir bien à jour.


Voilà, ton année Erasmus est terminée. Tu vois, ce n'était pas si terrible que ça finalement, toute cette paperasse administrative  ! ;) Maintenant, tu as le droit de pleurer en regardant tes photos et de regretter que ces quelques mois soient passés si vite. Et si tu patauges dans la semoule, tu peux me laisser un commentaire aussi, Petit Padawan, je ne mords pas !

Cet article est basé sur ma mobilité Erasmus afin de vous donner les lignes directrices. Dans tous les cas, fiez vous aux consignes de votre université d'origine.

lundi 22 juillet 2013

Semaine 46


Lundi 22 juillet :


Cette chanson me rappelle des souvenirs. Déjà parce que j'avais failli la chanter en tant que soliste dans la chorale de mon collège en troisième, ensuite parce qu'elle reflète complètement mon état d'esprit du moment. Déjà parce que j'ai l'impression d'être la seule à avoir encore des partiels. Ok les écoliers vont encore à l'école mais ils ne glandent plus rien à part regarder des films et jouer aux jeux de société (et encore, beaucoup font des excursions de fin d'année). Ensuite il fait chaud. Très chaud. Et ma chambre donne plein sud, comme je l'ai déjà dit 12 000 fois. Et c'est tout simplement impossible de se concentrer par 40 °C sans un brin d'air frais. Et puis... et puis je ne suis pas habituée à travailler encore le 22 juillet moi. J'ai l'impression de ne pas pouvoir profiter de mes vacances à fond, et par défaut, du peu de temps qu'il me reste encore ici. J'ai compté, je quitte Heilbronn dans trois semaines et demi et devant ce terrible constat j'ai pleuré comme un bébé. Dans les bras de mon ours en peluche géant. Oui c'est pathétique. Et je crois que j'ai un petit coup de coeur pour mon co-chef et ça n'arrange rien (lui par contre, j'en sais rien).

Mardi 23 juillet : 



Booouh... c'est à dire que mon partiel d'aujourd'hui ne s'est pas si bien passé que ça. Non pas faute d'avoir révisé, j'ai bossé quand même mais les questions étaient plutôt sadiques. Déjà, le partiel était composé de 30 questions, chacune valant entre deux et six points. C'est pas plus mal remarquez, ça m'a au moins évité de perdre un nombre de points abyssal car vu que j'ai sauté cinq ou six questions, ça aurait chiffré assez vite... J'avais loupé deux séances de ce cours, dont la toute dernière de l'année puisque j'étais à Hambourg, eh ben guess what, le prof a posé sept questions sur les trente au total sur cette séance-là (sur un sujet pas easy easy en plus : les transferts de devises i tout... moi dès qu'on me parle de chiffres j'ai des sueurs froides). Pas de bol ! Heureusement, j'avais lu le script alors j'ai pu bricoler deux ou trois trucs mais je ne donne pas cher de mes réponses. Exemple : à "Est-ce que dans le cas d'une transaction bidule, s'agit-il de X ou de Y transaction de devises ?" j'ai répondu Y parce qu'il m'a semblé voir écrit Y dans le script. Au pire, si c'est juste c'est bien, si c'est faux j'aurais au moins essayé. Et puis au moins, j'aurais rempli l'espace blanc en-dessous de la question, ça rend le tout moins dramatique (cf. citation de Bill Gates ci-dessus). Par contre, ne cherchez pas, à la deuxième partie de la question "Et expliquez pourquoi ?", je n'ai rien trouvé à dire. Je suis un peu déçue mais je pense néanmoins avoir sauvé les meubles. De toute façon, un 4,0 (équivalent de notre 10/20) ou bien un 3,0 (équivalent de notre 11,5/20), c'est tout ce qu'il me faut.

Du coup, demain j'ai encore un partiel qui paraît facile (lui, pour le coup). C'est de l'anglais alors je ne pense pas galérer à mort non plus. Et jeudi, j'ai un partiel qui compte pour cinq crédits ECTS alors je préfère vous dire que je n'ai pas le droit de le foirer. Idem, une note entre 10 et 12/20 m'irait amplement. De toute façon, les matières que j'étudie cette année ne me servent pas pour le master dans lequel j'entre l'année prochaine et tout ce que je veux, c'est au moins valider mon année pour ne pas faire désordre. C'est bien parti puisque j'ai déjà eu les résultats de deux partiels et j'ai eu un 1,3 (= 15/20) en International Law et un 1,7 (= 14/20) en Business Documents. J'attends encore une note en anglais, qui sera du même acabit que les deux ci-dessus, et ma note de partiel d'allemand où j'attends un 1,0 (meilleure note possible).

Sinon, voilà voilà, Kate Middleton a accouché du futur roi d'Angleterre, qui n'a toujours pas de prénom et dont le peu qu'on a vu c'est une bouille toute bouffie dans une couverture (un bébé lambda quoi), le monde peut désormais se remettre à tourner normalement. Par contre, la fausse joie de Kate qui devait accoucher le 13 juillet, aka. le jour de mon anniversaire, c'est point cool. Moi qui me voyais déjà me la jouer à mort devant mes enfants... Ah et je croyais que ça serait une fille et j'ai perdu le pari face à ma mère aussi. Sinon, je suis allée courir et demain je me lève à 7h30 pour filer un coup de main au chargement du matos pour notre camp scout. Hiiiiiiiii ! (je ne peux les rejoindre que dimanche mais je suis toute excitée).

Mercredi 24 juillet :

Bon, et bien longue vie à Prince George de Cambridge. C'est mignon que Kate et William aient décidé d'appeler leur fils comme le papa de la reine Elizabeth. D'ailleurs, en parlant de Georges VI regardez vite le film Le discours d'un roi (The King's Speech en anglais). Il est vraiment extra. Voilà voilà. Sinon, si le bébé avait été une fille, les bookmakers pariaient sur le prénom Charlotte... qui n'est autre que mon deuxième prénom. Allez, la prochaine fois, vous nous faites une princesse, vous l'appelez Charlotte et on n'en parle plus.

A part ça : 

Je passe mon dernier partiel demain et je compte les heures jusqu'à ma délivrance. Je compte les heures jusqu'à mon camp scout aussi (aujourd'hui, j'ai sorti mon sac à dos de mon placard et je lui ai parlé) (mais je ne suis pas folle vous savez). Mon partiel d'aujourd'hui s'est bien passé, à part un exercice de grammaire un peu foiros, je crois que j'ai réussi. Et je sens que mon partiel de demain va bien se passer aussi. Avec la prof, à la fin du semestre, on a préparé une liste de 17 questions dans laquelle elle va piocher pour le partiel. Alors au lieu de me farcir les 185 pages de script, je me suis plutôt concentrée sur ces questions-là. Je suis quasi-sure que je peux m'en sortir avec honneur. Raaaaaaah, demain à 15 heures je suis en wacances ! Elles s'appellent désirées celles-là... Pour la dernière fois demain je pause mes fesses sur une chaise de la Hochschule Heilbronn... ça fait bizarre, j'ai l'impression que je suis arrivée il n'y a pas si longtemps. Vais-je verser une larmichette d'émotion, le mystère reste entier.

Sinon, je crois que oui, j'ai un crush sur mon co-chef. Là il est parti en camp scout avec les autres (et je ne les rejoins que dimanche et là ils doivent avoir commencé ou commencer très bientôt la veillée... raaaaaah injustice !) et je suis toute chose, ascendant gnian gnian. Genre, je me rappelle les choses gentilles qu'il m'a dites. Exemple le plus guimauve de la planète : vendredi soir, après le film et avant de sortir pour me ramener chez moi, il me prend dans ses bras et me dit *sors les kleenex, même dans un film américain c'est pas mieux* : "Je voulais te souhaiter ton anniversaire encore une fois parce que je n'ai pas eu l'occasion de le faire en face à face et c'est mieux en face que sur Facebook". C'est miiiiiignooooooon hein ? C'était mignon et inattendu. Surtout que la minute d'avant, il m'avait demandée, en me voyant tomber d'épuisement, si je voulais dormir dans sa chambre d'amis. Je ne sais pas s'il a voulu me tendre une perche mais fatiguée comme j'étais j'ai dit "Non ça ira" sans vraiment faire gaffe à sa question. (J'espère juste ne pas lui avoir donné l'impression de le rembarrer sec) Et puis dimanche, c'est peut-être rien, mais pour me dire au revoir, il m'a enlacée d'un bras (en Allemagne on se fait des hugs) et a posé l'autre sur mon autre bras. J'en fais trop tu crois ? J'idéalise aussi un peu aussi tu crois ? (je ne suis pas folle vous savez) Et puis comment, alors qu'on revenait de la piscine, lui, une de nos jeunes scoutes (on est chefs ensemble en plus) et moi, il a payé le kebab (oui les allemands ont une fascination assez particulière pour le kebab, j'en reparlerai mais une telle ferveur m'échappe) et pour moi. Alors que j'avais en plus de quoi payer. Là, je vais essayer pendant le camp de tâter le terrain, sans me trahir non plus (donc sans le regarder toutes les vingt secondes avec des yeux de merlan frit). C'est un mec tellement gentil en plus. Et j'aime beaucoup son sourire. 

Et j'arrête de gagatiser pour ce soir. Par contre demain... (naaan j'déconne).

Jeudi 25 juillet :


JE SUIS EN VACANCES !

Voilà, après avoir bassiné mon monde pendant des semaines, c'est terminé - it's over comme disent les ricains. Et sur une belle note en plus : j'ai réussi mon partiel. Je ne réalise pas encore, tu vois. Ça a été tellement long cette année scolaire... Quand je suis rentrée chez moi en fin d'après-midi, j'ai presque eu du mal à capter que non non, je n'ai vraiment plus rien d'autre à foutre que de me vautrer comme un lamantin devant l'ordi. Pas de cours à réviser, j'ai d'ailleurs tout archivé. L'année 2012/2013 est bel est bien terminée. Pfiou. Je suis bien contente, pas nostalgique parce que j'ai encore plein de choses qui m'attendent cet été... Puisque je n'ai plus le nez dans mes révisions, j'ai pu m'occuper de ma lessive et du tas malodorant de fringues qui patientait depuis trois semaines. (Miam) Et j'ai commencé à faire mon sac scout aussi. Je suis tellement pressée de les rejoindre dimanche ! (Par contre le 4 août au matin, tu verras comme je serai contente d'avoir retrouvé un vrai lit) J'ai aussi rédigé un article récapitulatif sur les démarches à effectuer pendant une année Erasmus, je le posterai ce week-end, histoire de vous donner un truc à vous mettre sous la dent pendant que je suis en camp scout. D'ailleurs, en écrivant cet article, j'ai dû me replonger un coup dans mes articles de l'année dernière. Olala, ça m'a fait tellement bizarre de relire ce que j'avais écrit il y a tout juste un an ! Nostalgie, quand tu nous tiens...

Sinon, je suis complètement lessivée. Demain j'ai plein de trucs à faire... je vais pas tarder à m'échouer dans mon lit. Demain je peux faire une grasse mat en plus, yiiiiihaaa !

Vendredi 26 juillet :

La journée a commencé de manière assez cocasse. En effet, je voulais aller à la mairie, au bureau de l'état civil, plus précisément. Au tout début de mon séjour Erasmus, j'avais accompli une démarche qui s'appelle l'Anmeldung, aka l'inscription au registre des résidents à Heilbronn. A la fin de mon séjour, qui approche, il faut remplir la formalité inverse : l'Abmeldung. La désinscription quoi. Sauf que... Sauf que j'avais déjà pris mon ticket avec mon petit numéro et c'est là que, en pensant à tout à fait autre chose, j'ai eu le nez de réfléchir à si j'avais pris ou non mon porte-feuille contenant ma carte d'identité. La réponse, je te la donne en mille : non. Donc j'ai dû jeter le papier, courir prendre le bus, faire de toute manière un trait sur cette formalité administrative puisque le bureau aurait été fermé à mon retour en ville (ah ces mairies...). Du coup, en consolation, j'ai voulu m'acheter un croissant. Mais en l'espace de deux minutes, mon porte-feuille n'a pas eu la bonne idée de se matérialiser dans mon sac. Donc je me suis tapée la honte à la boulangerie en balbutiant "Ah bah non, en fait j'ai pas de sous sur moi". Sous vos applaudissements, s'il vous plaît.

Après, une fois m'être tapée trois trajets en bus en moins d'une heure, je suis allée chercher un colis à la poste puis j'ai essayé de faire racheter par ma librairie un livre de cours que j'avais déjà acheter chez en septembre et dont je ne me servirai plus jamais. La vendeuse a dit que non mademoiselle, on ne reprend pas les bouquins d'occasion, il faudra le vendre sur internet. Fait chier. Il m'a quand même coûté 36 € quoi... Après, j'ai mangé au resto et j'avais rendez-vous avec l'élève à qui j'ai donné des cours de français pour signer un papier. On avait l'air con là sur ce bout de trottoir à ne plus savoir quoi se dire à part les banalités d'usage. C'était la dernière fois qu'on se voyait alors forcément, il y avait un peu d'émotion dans tout ça. On s'est fait deux gros câlins, on s’est promis de garder le contact. Elle a réussi à terminer son année avec une note correcte en français grâce à moi, sa mère est totalement satisfaite des cours que je lui ai donnés. Alors forcément, moi tout ça, ça m'a mis de l'eau dans les yeux. J'ai fait la connaissance de beaucoup de gens, avec qui j'ai été plus ou moins proche, dont plusieurs d'entre eux se révélaient en fait être de mauvaises personnes, mais savoir que je lui ai été utile, ben moi ça m'émeut.

Ensuite, j'ai terminé ma journée avec mes deux collégiennes italiennes, dernière séance de l'année pour elles aussi. En me ramenant chez moi, leur père m'a dit "Hé, avant que tu partes, tu viens boire le café chez nous hein ?". Comme ça, sans chichi. J'ai dit oui, of course. Et après, je suis allée courir une demi-heure en passant par les jardins partagés pas loin de chez moi. C''est trop mignon, chaque parcelle a une petite grille, les chemins ont des noms comme "chemin des tomates" et j'avais vu sur les vignes en face. Je suis allée courir en début de soirée, quand l'air se gorge de l'humidité de la journée qui remonte du sol. Dans l'air flottait une odeur de barbecue. Pendant un instant, tout était si calme et je me suis cru en Saône et Loire, chez mes grand-parents paternels. A mon retour, courant en direction de l'ouest, j'ai assisté au coucher de soleil sur la ville. Il était rose fuchsia. C'était beau.

lundi 15 juillet 2013

Semaine 45

Lundi 15 juillet :

Deuxième et avant dernière semaine de partiels. Pardon de ne pas avoir posté depuis quelques jours mais j'ai été enfouie sous les révisions. A cet instant même, je viens de finir de réviser mon partiel d'allemand de demain. Mon partiel de ce matin s'est bien passé. J'ai sauvé les meubles. Je n'ai pas suffisamment pu réviser et assimiler de la matière en trois jours alors je pense avoir entre 10 et 13, mais ça suffit. Le prof étant arrivé avec 30 minutes de retard, on a pu réviser un peu plus que prévu et ma foi, ça a fait du bien.

Sinon, pas grand chose. Samedi c'était mon anniversaire et je l'ai passé à réviser. On a connu plus funky mais c'est comme ça. Vivement demain que je sois de nouveau libérée pour quelques jours... j'ai de nouveaux des partiels mardi, mercredi et jeudi prochains. Ouf... je ne me souvenais plus ce que ça faisait d'être en période de révisions intenses... Je n'aime pas trop ça, être enchaînée à mon bureau sous les papiers à se bourrer le crâne. Je me demande comment j'avais fait pour survivre au bac ! En tout cas, j'avais dit que je me mettrais à réviser dès le mois de mai, je ne l'ai pas fait et j'ai douloureusement regretté mon geste ce week-end où j'ai dû me farcir 250 pages en moins de temps qu'il n'a fallu pour le dire.

Grâce à mon adresse mail chez GMail, Google m'a souhaité un bon anniversaire. C'est pas classe ça ?

Samedi 20 juillet :

Les enfants, je n'ai pas posté depuis lundi et c'est un scandale. Avec les révisions, les après-midis de glandouille intensifs devant l'ordinateur et les diverses invitations qui me tombent dessus, c'est loin d'être évident... Tenez par exemple, hier après ma réunion scoute, on est allé manger des glaces tous ensemble. Puis mon co-chef (oui celui avec qui j'avais une touche pendant un barbecue il y a un mois) fais une annonce : il propose d'aller voir le film Moi, moche et méchant 2 chez lui. Tu parles que j'ai dit oui, l'ami. Déjà parce que je ne l'ai pas encore vu et que tout le monde en parle et en plus, j'avais trouvé le premier extra. Le deuxième est tout aussi drôle, je me suis rarement aussi poilée pendant un film. Et donc du coup, il m'a raccompagnée chez moi à une heure du mat. Cet aprem, invitation à passer l'après-midi à la piscine. Ben j'ai dit oui, devine sardine. Et à la piscine, j'ai aussi dit oui pour aller à une beach party/soirée dansante demain. (Sinon oui je révise aussi) (un peu). Parce que qu'après tout c'est l'été et presque un peu les vacances et je m'en vais très bientôt de Heilbronn et je ne reverrai plus les gens que j'apprécie, autant en profiter.



Dimanche 21 juillet :

Je suis partagée entre deux émotions contradictoires. Alors que je viens de rentrer d'une après-midi avec mes co-chefs scouts, j'ai lu les statuts Facebook de tous mes collègues déjà rentrés au pays. Et j'ai une folle envie de pleurer. Pleurer parce que moi aussi je veux rentrer et pleurer parce que je ne veux pas partir et quitter tout le monde. C'est bizarre hein ? Je crois que c'est normal d'être tiraillée comme ça mais c'est perturbant. J'ai du mal à me dire que dans un mois, pfiou fini, je ne reverrai plus mes co-chefs scouts. Aucun suspens, je vais pleurer comme un bébé à la fin de camp scout.

mardi 9 juillet 2013

Semaine 44

Lundi 08 juillet :

Je suis rentrée de mon week-end à Hambourg hier soir et, trop fatiguée, je n'ai pas posté d'article. J'ai pris quelques photos, le temps était magnifique, je les poste demain. A Hambourg, j'ai rencontré les gens qui viennent tous d'un Land différent. Il faut savoir qu'en Allemagne, chaque Land (équivalents plus ou moins à nos régions, à ceci près que les Länder disposent d'une plus grande autonomie politique) a une identité forte qui se traduit notamment par un accent, plus ou moins marqué. Des fois c'est juste la prononciation des mots qui varie, ick à Berlin pour dire ich (je) par exemple, ou bien alors des fois c'est carrément un dialecte à part entière comme le schwäbisch où j'habite ou le dialecte de la Saxe. Bref, tous les membres de ma commission venant d'un Land différent, j'ai entendu plein d'accents et de dialectes différents aussi et j'ai remarqué que je les comprenais tous très bien. D'ailleurs, on m'a à plusieurs reprises félicitée pour mon allemand, je cite d'ailleurs "tu n'as pas d'accent, ou bien très rarement, tu parles allemand mieux que mon beau-frère péruvien qui vit en Allemagne depuis dix ans". Voilà, c'était la minute lancer de fleurs. 

Sinon, j'ai l'impression que plus je vais à Hambourg, plus c'est une ville que j'aime. Déjà parce qu'il faisait vraiment beau et j'ai le sentiment d'avoir pu apprécier la ville à sa juste valeur cette fois. Je rappelle que j'ai visité Hambourg pour l'Ascension avec Camille et que la météo était un peu foireuse. Mon week-end n'était pas dédié à la visite de la ville, bien que nous sommes allés dans une brasserie artisanale où on a bu de la bière directement au fût et un très bon resto avec vue sur les canaux mais le peu que j'en ai vu, à savoir le Binnenalster en tout début de soirée, quand le ciel se met à rosir, le port et son marché aux poissons (Fischmarkt) le dimanche quasi à l'aube m'a enchantée. Comme je l'ai dit, je poste les photos demain (teasing de fou).

Demain, je poste aussi ma vidéo bilan de mes dix mois en Erasmus. J'ai trouvé d'ailleurs ça chouette que j'ai fêté mon dixième mois en Allemagne un samedi soir, à Hambourg, dans un super resto.

Sinon, j'ai commencé mes partiels aujourd'hui avec de l'anglais. C'était easy, finger in the nose, je crois que j'ai bien réussi. Ah et aujourd'hui, je me suis également réinscrite à la fac française car : ma candidature au master d'études germaniques et métiers de l'enseignement a été acceptée ! :) Yiiiihooooou !

Mardi 09 juillet :

Les enfants, il fait chaaaaaaaaud ! Quand je suis allée courir ce soir à 18h/18h30, il faisait encore 33 °C. Ma chambre donne plein sud et je fonds littéralement à l'intérieur. Surtout que la chaleur me file très vite mal à la tête... il n'empêche que je n'ai couru que 30 minutes mais j'ai pris des petits coups de soleil sur les épaules et le décolleté. Incroyable. La faute à mon morceau de parcours passant à côté de serres, sans un seul brin d'ombre. Anyway, courir m'a épuisée - autant que la chaleur qui me rend toute molle et inefficace. 


Bref, comme promis, voici le résumé de mon escapade à Hambourg. Sachez déjà que j'y étais déjà allée pour le pont de l'Ascension en mai, voici le lien de l'article en question, ce résumé ne fait que le compléter.A ma grande surprise, quand je suis arrivée le vendredi soir, il faisait un temps magnifique qui s'ets prolongé tout le week-end. Étonnant quand on sait qu'à Hambourg il fait plus souvent frais et gris que très beau et chaud. Le vendredi soir, je suis allée dans une brasserie artisanale, chez Gröninger dans la Willy-Brandt-Straße 47. La brasserie se trouve dans une cave, dans un bâtiment qui fait l'angle de la rue, presque en face du bâtiment du Zeit. D'ailleurs, à propos de ce bâtiment, siège de l'équivalent journalistique de notre Monde à nous, il y a devant un jardin avec des blocs blancs lumineux. Ils représentent les premières fondations de la ville de l'époque, Hammaburg, qui se trouvaient à cet endroit là.


Les blocs blancs s'allument dans la nuit

Sinon, le samedi matin, nous sommes passés devant la mairie et plus je la vois, plus je me dis qu'elle envoie du lourd. Sur cette photo par exemple, je n'ai pas réussi à la faire rentrer complètement dans mon cadre alors que j'étais déjà loin, pour vous dire comme la tour est haute !



Le soir, nous sommes passés devant le Binnenalster, étendue d'eau en centre ville qui n'est pas sans rappeler Genève avec son jet d'eau. Je trouve que la lumière de cette photo est jolie, avec le ciel qui rosit doucement :

Au fond à gauche, c'est la tour de la mairie

Ensuite, après notre repas chez Joh. Albrecht, au Adolphsbrücke 7, nous sommes allés dans le Elbtunnel, tunnel qui, comme son nom l'indique, passe sous l'Elbe. En plus d'être drôlement rigolo de marcher sous la flotte, on se retrouve de l'autre côté de la ville avec une vue imprenable sur les immeubles et les quais illuminés. La photo ne rend malheureusement pas très bien, elle a été prise depuis mon téléphone portable : 

L'intérieur du tunnel

La cage d'escalier pour y descendre, possibilité de descendre en ascenseur

La skyline de Hambourg ! :)

Gardez en tête que le tunnel est ouvert à la circulation des voitures la journée (les voitures descendent dans le tunnel en ascenseur). Si vous voulez vous faire un trip romantique, traversez le tunnel très tôt le matin pour admirer le lever de soleil sur Hambourg ! Ou bien, le dimanche matin, vous pouvez aussi décider de vous lever à six heures et demi pour vous rendre au Fischmarkt, marché aux poissons, qui a malheureusement perdu de son authenticité au profit des multiples stands de souvenirs. Cependant, si vous voulez manger du vrai bon poisson dès le petit déj, c'est là-bas qu'il faut aller ! Il y a aussi des marchands de fleurs et de fruits et légumes qui vendent leurs marchandises à la criée, c'est assez impressionnant !

Vente de fleurs à la criée

J'aime beaucoup le contraste des bâtiments en briques rouges et des arbres en arrière plan


Un poissonnier hilarant !


Un stand de poissons, évidemment

Vue sur le port de Hambourg de bon matin ! 

Ah et évidemment, buvez une bière ASTRA, brassée à Hambourg dont le dessin ci-dessus orne la capsule ! (toute commande d’une autre bière que la ASTRA est considéré comme une hérésie)

Sinon, nous avons dormi à l'auberge de jeunesse Auf dem Stintfang, Alfred-Wegener-Weg 5. J'avais depuis ma chambre vue sur le port et l'auberge dispose d'une super terrasse pour prendre son petit dej !

Vue de ma chambre de bon matin, au réveil !

Vendredi 12 juillet :

Je me suis fait rare ces deux derniers jours... En effet, je suis plus ou moins en période de vacances/révisions et aujourd'hui, j'ai réalisé que j'avais un examen important lundi et pour lequel je n'avais toujours pas touché au script. Du coup, ça donne quoi ? Et bien ça donne que je ne suis aps allée aux scouts ce soir pour bûcher comme une brute, que je vais passer tout mon week-end enfermée avec mes cours et je serai complètement toute blanche de peau de ne pas avoir vu le soleil alors que les autres seront tous bronzés. D'ailleurs, en parlant des autres, il y avait une soirée ce soir au pied de ma résidence. C'est la troisième fois que cela se produit, je ne sais aps exactement de quoi il s'agit mais c'était juste extrêmement pénible de les entendre brailler comme des gorets alors que je voulais vraiment me plonger dans les révisions. Après avoir fermé la fenêtre et mis mes boules Quiès, ça allait mieux.

Anyway, pas trop le temps de passer par ici, surtout que demain matin je dois aller travailler (le jour de mon anniversaire en plus, c'est tout bonnement scandaleux !). Juste une petite anecdote pour commencer le week-end : alors que j'étais en train de donner mon cours particulier d'allemand aux ados italiennes, le père vient me demander ce que je fais demain soir. Je réponds que je révise pour un exam important et il me fait "Ah ben dommage, on organise un barbecue, ça aurait été cool si tu étais venue". Ouais, comme ça, la base. 

Bilan 10 ème mois !

Mardi 09 juillet : 


Et le voilà, tout beau tout chaud, le dixième bilan de mon séjour en Erasmus ! Pensez à bien monter le son et pardon pour la vitesse super sonique mais ma webcam faisait du boudin et se coupait de temps en temps alors j'ai enregistré la vidéo entre deux interruptions.

Des bisous en attendant mon complément d'article sur Hambourg !

Sur Youtube, j'ai découvert qu'on pouvait voir la transcription de la vidéo. Alors je ne sais pas ce qu'il s'est passé, mais voilà : 


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voir l'agenda
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bienvenue sur un billet disant que l'on a fini 8e certaines vidéos de qualité
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l'indicé s'est accru de 22 ans qui fait défaut alors je l'aï dit et cela ne
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tienne ce qui en fait le temps en temps
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wiener qu'il a perdu en cela par le fait que la guerre était finie
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pour survivre elle a plus que j'ai testés à hambourg voix d'avancé
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qu'ils aient été stabilisé à 10 8 juillet
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le dernier match de la première journée avec un petit peu de retard
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concrètement à la chiappa la fange partage entre plusieurs sentiments
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votre sentiment et dire que l'agent jean-loup lapointe au delà de sa place
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dans le prix régionaux
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elle veut du mal à s'imposer dans super longtemps en apesanteur les superviseurs
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que je partageais un peu entre le taxi
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alors que tous mes copains que par la puissance installée du groupe pour
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compte propre en france
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et le fait de dire que baroque finale ça va tellement vite que l'autre est
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pas forcément un peu
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c'est un petit peu partagé entre son envie de rentrer nathalie pharmaceutique
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cent quatorze mois de juillet les données avec une scie voiture
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empêcherait pas de 7%
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pour rédiger en championnat suisse pourquoi
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jeter la pierre des pierres wall street une des dernières épreuves
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le match d'entrée inabordable
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si vous arrêtez pas grand-chose on ne sait plus trop quoi dire en tout ce qui
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dans le sénat qui voit l'intérêt de telles tâches mauritanien a chamboulé
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cette année
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hébergement ou signer au club le sait plus trop quoi vous dire fin du roman
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pour la fanfare
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voilà ce que je veux pas d'un bilan est de ce fait plus dans une gare
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ça fait un peu bizarre qui l'ont gagné aux points
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elles aussi ont écouté m
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au paradis hollande
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à l'époque c'est un axe
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plupart de parler pour la parole spontanée non j'ai besoin de
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réfléchir disant à plaisir
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on voit ici en battant l'allemagne qui fait savoir qu'elle avait beaucoup
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d'attentes très différents les uns des autres sur la région d'origine
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à auch et comprendre pour lesquelles extra large courant tournage de la
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septième à l'afp
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j'ai malheureusement oublié l'essentiel est acquis
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avec l'expulsion de ce dernier
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vendredi dans la soirée la chanson sur les feux dans l'aude sous serment je
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pense que ça va être super
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et on a l'impression de pagaille integrated intégrer un nouveau scrutin
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j'adore en superstock en charge at-il argué
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nos différents alors vrai que quand je n'appartiens pas- vestiaires
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investir fr en arrière ainsi davantage la chanter afin de récolter des
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territoires
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jean-claude lavorel prix devraient apparaître peu après 20 heures plus
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tard voilà qui est clair
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il a donc fallu repos
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patrouchev a pas cours pour rappel l'acteur reconnaît que think you are
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chantait joe cada choix que de rentrer
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et là je me rends pas forcément compte de tout ce que j'ai accompli pendant des
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années tout ce que j'entreprends bon sens carvalho selon rabat par renée
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paré étant est passé tellement vite que je me rends pas compte de tout ce
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que j'ai fait c'est moi que l'on a atterri à cheval
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dans le vert enfants francophones koné karidja en plus du recul pour
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